* Force réduite : Les joints en peigne sont plus faibles que les autres méthodes de menuiserie, telles que les joints à queue d'aronde ou à tenon et mortaise. En effet, les dents du peigne ne s'emboîtent que partiellement, laissant des espaces entre elles. Ces espaces peuvent affaiblir le joint lorsqu’il est soumis à des contraintes.
* Susceptible au mouvement : Les joints en peigne sont susceptibles de bouger, en particulier dans les climats humides ou secs. En effet, les dents du peigne ne sont pas aussi sûres que les broches d'un assemblage à cheville ou les cales d'un assemblage à tenon et mortaise. En conséquence, les joints du peigne peuvent se desserrer avec le temps, ce qui affaiblit le joint.
* Largeur de joint limitée : Les joints en peigne ne conviennent pas pour une utilisation sur des planches larges, car les dents du peigne seraient trop longues et ne s'emboîteraient pas correctement.
* Difficile à démonter : Les joints en peigne sont difficiles à démonter, ce qui les rend peu idéaux pour les projets qui pourraient devoir être démontés à l'avenir.